Abstract
Simulation models are used to estimate the frequency of Japanese Edo Period wrecks along the Canadian Pacific Coast and to suggest areas that have the greatest potential for the recovery of archaeological materials. During the Edo Period (AD 1603-1867), vessels of foreign design and traditional vessels capable of safely navigating in the open sea were destroyed to prevent contact with the outside world. Vessel designs were modified so that ships venturing into the open sea would be disabled by storms. Historical records indicate a number of Japanese vessels drifting onto the Canadian and adjacent coasts, in many cases with survivors. These records are used to set parameters for the start point of voyages, whether an attempt is made to steer the vessel, voyage duration, and time of year. The simulation uses the data contained in the U. S. Navy Marine Climatic Atlas of the World.
Résumé
Des modèles de simulation sont employés pour estimer la fréquence d'épaves japonaises de la période d'Édo (AD 1603-1867) le long de la côte pacifique canadienne et pour suggérer quels secteurs offrent de plus grandes possibilités intéressantes pour la récupération des matériaux archéologiques. Pendant la période d'Édo, des navires de conception étrangère et les jonques capables de naviguer la mer ouverte sans risque étaient détruits. Les conceptions de navire ont été modifiées de façon que les bateaux osant sur la mer ouverte soient handicapés. Ceci a été fait pour empêcher le contact avec le monde extérieur. Les documents historiques indiquent un certain nombre de navires japonais dérivant sur les côtes canadiennes et adjacentes, dans beaucoup de cas avec des survivants. Ces documents sont employés pour placer des paramètres comme, le point de début pour les voyages, si une tentative était faite d'orienter le navire, la durée de voyage et la période de l'année. La simulation emploie les données dans le U. S. Navy Marine Climatic Atlas of the World.