Abstract
Archaeologists have tended to assume that ethnic groups' are holistic; that they form homogeneous, coherent, and discrete social entities. In Ontario, ethnic entities are identified archaeologically through decorative patterns that indicate ethnic affiliation. In this case study, I examine the degree that holism can be identified along the hypothesized 'Younge phase Western Basin-Early Ontario Iroquoian' boundary through an analysis of ceramics from the Van Bree site. While ceramic material from Van Bree indicates that a distinct ethnic border probably separated the producers of Younge and Early Ontario 'Iroquois' ceramics, it also suggests that these groups did not form holistic social entities that used decorative variation to symbolize their respective ethnic identities.'
Résumé
Les archéologues ont tendance a voir les «groupes ethniques» comme étant holistiques; formant des entités sociales discrètes, cohérentes et homogènes. En Ontario, les entités ethniques sont identifiées à travers les schèmes décoratifs qui indiquent leur affiliation ethnique. Dans le présent cas, nous analysons les vestiges céramiques du site Van Bree afin d'examiner le degré de ce holisme au long de la frontière postulé entre la phase Younge de la tradition Western Basin et la tradition Iroquoienne ancienne de l'Ontario. Les vestiges céramiques du site Van Bree indiquent que même s'il y avait une frontière ethnique distincte qui séparait les producteurs de poterie Younge et «iroquoienne» ancienne de l'Ontario, ces mêmes vestiges suggèrent aussi que ces groupes ne formaient pas des entités sociales holistiques qui utilisaient la variation décorative pour symboliser leur identités ethniques respectives.